Ahum... tant qu'à maintenir (contre monnaie sonnante et trébuchante) un blog qui précise "malheurs d'une jardinière" dans son sous-titre et faute (comme tout le monde l'aura compris) d'être encore chef de gare : parlons jardin.
Tout vient à point à qui sait attendre et j'ai eu gain de cause en l'an 2013 :
Et maintenant, ladies and gentlemen, vous avez une vague chance de pouvoir suivre les déboires d'une potagére débutante.